« Je me réjouis d’occuper le poste de directeur commercial de Dunkerque LNG à une période aussi passionnante. L’infrastructure énergétique fait face à un double enjeu : elle doit jouer un rôle clé dans l’évolution inexorable vers la décarbonation de nos économies et, en même temps, elle doit répondre aux circonstances du marché, aux conséquences des tensions géopolitiques et à la volatilité que tout cela génère. »

L’équipe commerciale dont j’ai la charge est confrontée, au quotidien, à ces deux fronts. Nous cherchons non seulement à répondre aux demandes de nos clients mais surtout à optimiser nos produits et faisons preuve de flexibilité dans un marché très changeant. Notre objectif est de rendre notre terminal toujours plus attractif et compétitif. Nous développons aussi le volet prospectif et préparons l’avenir, avec la vente de nos capacités, car nous le savons, Dunkerque LNG joue un rôle majeur dans la sécurité d’approvisionnement en énergie du pays et plus globalement, du nord-ouest européen. Le terminal s’est également enrichi de nouveaux services, comme le chargement de camions, allant jusqu’à proposer un self-service pour les chauffeurs préalablement formés et habilités. Mais nous devons développer également le rôle de Dunkerque LNG dans l’écosystème des nouvelles molécules (CO₂, hydrogène, ammoniac…). Nous sommes conscients des opportunités de décarbonation qu’offre le fait d’être sur le bassin industriel du Dunkerque et du rôle majeur que peut jouer Dunkerque LNG. 

Toutes les capacités commercialisées

Pour la première fois de son histoire, Dunkerque LNG a commercialisé l’ensemble de ses capacités disponibles, soit 13 milliards de mètres cube par an. On pourrait penser que cette situation génère moins de travail pour les équipes commerciales qui n’ont plus besoin de réaliser des appels à manifestation d’intérêt : il n’en est rien. À peine un navire quitte-t-il la jetée qu’un autre arrive. Nous devons donc témoigner d’une réactivité accrue et être créatifs pour répondre aux besoins de nos clients. C’est un défi constant, mais c’est aussi ce qui fait le charme de nos métiers. »

« Je me réjouis d’occuper le poste de directeur commercial de Dunkerque LNG à une période aussi passionnante. L’infrastructure énergétique fait face à un double enjeu : elle doit jouer un rôle clé dans l’évolution inexorable vers la décarbonation de nos économies et, en même temps, elle doit répondre aux circonstances du marché, aux conséquences des tensions géopolitiques et à la volatilité que tout cela génère. »

L’équipe commerciale dont j’ai la charge est confrontée, au quotidien, à ces deux fronts. Nous cherchons non seulement à répondre aux demandes de nos clients mais surtout à optimiser nos produits et faisons preuve de flexibilité dans un marché très changeant. Notre objectif est de rendre notre terminal toujours plus attractif et compétitif. Nous développons aussi le volet prospectif et préparons l’avenir, avec la vente de nos capacités, car nous le savons, Dunkerque LNG joue un rôle majeur dans la sécurité d’approvisionnement en énergie du pays et plus globalement, du nord-ouest européen. Le terminal s’est également enrichi de nouveaux services, comme le chargement de camions, allant jusqu’à proposer un self-service pour les chauffeurs préalablement formés et habilités. Mais nous devons développer également le rôle de Dunkerque LNG dans l’écosystème des nouvelles molécules (CO₂, hydrogène, ammoniac…). Nous sommes conscients des opportunités de décarbonation qu’offre le fait d’être sur le bassin industriel du Dunkerque et du rôle majeur que peut jouer Dunkerque LNG. 

Toutes les capacités commercialisées

Pour la première fois de son histoire, Dunkerque LNG a commercialisé l’ensemble de ses capacités disponibles, soit 13 milliards de mètres cube par an. On pourrait penser que cette situation génère moins de travail pour les équipes commerciales qui n’ont plus besoin de réaliser des appels à manifestation d’intérêt : il n’en est rien. À peine un navire quitte-t-il la jetée qu’un autre arrive. Nous devons donc témoigner d’une réactivité accrue et être créatifs pour répondre aux besoins de nos clients. C’est un défi constant, mais c’est aussi ce qui fait le charme de nos métiers. »

« La maintenance, c’est une clef pour le bon fonctionnement du terminal. Nous devons en permanence prévenir les éventuelles pannes et être réactifs pour réparer ce qui doit l’être. Intéressé très jeune par la façon dont les choses fonctionnaient, je me suis logiquement dirigé vers un métier technique. J’ai suivi une formation d’ingénieur en cinq ans, deux années de classes préparatoires puis trois années à l’Institut catholique d’arts et métiers à Lille, en alternance, une alternance que j’ai réalisée dans le groupe Ponticelli.

Originaire d’Arras, passionné de moto, je venais souvent m’entraîner au terrain de motocross de Loon Plage. Je me demandais ce qu’étaient ces trois grands réservoirs qui aiguisaient ma curiosité. Et aujourd’hui, je travaille au sein du terminal ! Pendant deux ans, j’ai été le responsable de contrat de maintenance mécanique pour Ponticelli, avant d’être embauché en décembre directement par Gaz Opale. Auparavant, je gérais les équipements de maintenance, désormais, j’apprends le fonctionnement de l’usine, le rôle de chaque équipement. Ainsi, avant, je réparais une pompe, maintenant, je comprends à quoi elle sert, les impacts de son indisponibilité et je peux même proposer des axes d’amélioration. Au quotidien, j’analyse, je planifie et je supervise les opérations de maintenance et contrôle leur bonne exécution. J’ai la charge spécifique de la maintenance des siphons qui permettent de récupérer l’eau tiède arrivant de la centrale nucléaire de Gravelines. Je fais aussi le lien entre le service projet et la maintenance pour les projets de modifications d’équipements.

J’aime énormément la diversité de mon métier d’ingénieur, qui inclut des sujets mécaniques, électriques et pourra intégrer aussi l’automatisme et l’instrumentation. Je continue d’apprendre tous les jours !  J’apprécie beaucoup l’ambiance au sein de l’équipe maintenance. Les conditions de travail sont également très agréables. J’ai travaillé sur des sites industriels sur lesquels il y avait toujours de la poussière, de la pollution. Par ailleurs, je suis vraiment content de contribuer au développement d’une énergie propre, à une époque où la mobilisation contre le changement climatique devient inéluctable.

Si l’on m’avait dit, lorsque je faisais du motocross, qu’un jour, je serais ingénieur maintenance de ce beau site… »

17 mètres : c’est la longueur des pompes d’eau de mer, nécessaires au fonctionnement du terminal Dunkerque LNG. Jusqu’à présent, leur maintenance s’effectuait à l’extérieur, soumettant les techniciens aux intempéries. Dans moins d’un an, elle sera réalisée dans la toute nouvelle extension du bâtiment de la maintenance. Il est prévu d’implanter deux bâtiments, d'étendre le bâtiment Atelier et la zone bureaux d’environ 6,50 mètres sur sa façade Nord, et d'augmenter de 500 m² la surface du bâtiment Magasin.

Un atelier de 70 m² sera réservé aux pièces légères, notamment celles qui contiennent de l’électronique, les préservant ainsi de la poussière grâce à des zones de travail dédiées et préservées.

Regrouper les équipes

Cette extension sera aussi l’occasion de regrouper l’équipe de maintenance, actuellement répartie sur deux espaces, le bâtiment maintenance et la partie administrative. « La proximité géographique des 18 salariés qui composent l’équipe maintenance permettra de favoriser les échanges et les synergies. Les nouveaux locaux seront conçus pour améliorer la qualité de vie au travail. L’équipe maintenance a été associée au projet très en amont et a pu ainsi faire connaître ses besoins et ses attentes » se félicite William Swings, responsable maintenance.  

L’extension du magasin permettra aussi de rapatrier de grosses pièces actuellement stockées sur un site extérieur. « Les capacités de stockage seront améliorées, nous serons plus réactifs tout en évitant les coûts liés à la location d’entrepôts à l’extérieur du site et ceux générés par le transport des pièces », analyse William Swings.

Une année de travaux

Les premières phases de travaux viennent de débuter. « Nous avons lancé l’appel d’offres en juin 2022, obtenu le permis de construire en septembre et passé les commandes début 2023. La maîtrise d’ouvrage a été confiée à Artelia, nous nous appuyons aussi sur l’expertise de l’architecte Santer Van Hoff. La première étape a consisté à démolir la dalle extérieure. Les premières fondations seront réalisées en avril 2023 détaille Mounir Bouchaaya, chargé d'affaires en Freelance, en charge du projet extension du bâtiment maintenance. « L’une des problématiques est liée à la présence de nombreux réseaux enterrés, qui nous obligent à être très minutieux. L’atelier et le magasin demeureront en fonctionnement, ce qui requiert une bonne coordination. Les membres de l’équipe maintenance seront installés dans une base vie à proximité. » La livraison est prévue en janvier 2024 à l’issue d’une année de chantier. La maintenance disposera alors d’un beau bâtiment bien adapté à ses usages et à l’accroissement de son activité.

Nous vous présenterons, dans une prochaine newsletter, le nouveau bâtiment lorsqu’il sera finalisé.

« En 2022, le terminal Dunkerque LNG a réalisé une activité équivalente au triple de sa meilleure année, à savoir 2021. Face au besoin énergétique européen que la guerre entre la Russie et l’Ukraine a entraîné, le terminal méthanier de Dunkerque est devenu une porte d’entrée du GNL, incitant ainsi le marché à miser sur les terminaux français. Le terminal possède un accès sur le réseau belge. Il est ainsi devenu l’une des grandes portes d’entrée du GNL en Europe. Le terminal Dunkerque LNG s’est également coordonné avec celui de Zeebrugge, en Belgique, pendant les travaux de maintenance de ce dernier (et vice versa) permettant de maintenir l’approvisionnement européen en GNL durant cette période de forte demande tout en respectant les besoins de maintenance pour garantir la sécurité des installations.

2022 se caractérise également par la montée en puissance de l’activité de rechargement de camions, dite de truck loading qui a atteint tout son potentiel en milieu et en fin d’année avec plus de 1 500 camions chargés. Le terminal est à l’heure actuelle, le seul à proposer une activité de self loading par laquelle un chauffeur, préalablement formé et habilité, recharge lui-même son camion, un service très apprécié. 

Un autre point rendant cette année 2022 exceptionnelle pour le terminal de Dunkerque est la vente de la totalité de sa capacité, à savoir 13 bcm, pour la première fois depuis le début des opérations commerciales du terminal. L’appel à manifestation d’intérêt s’est avéré fructueux puisque Securing Energy for Europe (SEFE), entreprise allemande, a rejoint les deux clients historiques du terminal dès début 2023.

Il est important de noter qu’au regard de la montée en puissance du terminal, les équipes, aussi bien commerciales qu’opérationnelles sur place, ont été extrêmement sollicitées. Elles ont su témoigner, et témoignent encore au quotidien, de leur résilience, de l’expertise certaine qu’elles possèdent dans la gestion de l’installation, ainsi que de leur volonté de faire au mieux et de satisfaire toujours plus le client.

Pour 2023, les prévisions s’avèrent extrêmement prometteuses. Le terminal Dunkerque LNG est devenu un acteur européen reconnu pour sa fiabilité et son dynamisme face aux problématiques d’aujourd’hui et de demain. »